les films d\'horeur

Synopsis : Deux hommes se réveillent enchaînés au mur d'une salle de bains. Ils ignorent où ils sont et ne se connaissent pas. Ils savent juste que l'un doit absolument tuer l'autre, sinon dans moins de huit heures, ils seront exécutés tous les deux...
Voici l'une des situations imagnées par un machiavélique maître criminel qui impose à ses victimes des choix auxquels personne ne souhaite jamais être confronté un jour. Un détective est chargé de l'enquête...

 

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Synopsis : Nancy, Kris, Quentin, Jesse et Dean habitent Elm Street, au coeur d'une banlieue résidentielle semblable à des milliers d'autres - paisible, proprette et sans histoire... Mais depuis quelques temps, ces cinq jeunes sont hantés chaque nuit par le même cauchemar oppressant : un homme à la voix caverneuse surgit des ténèbres. Vêtu d'un t-shirt rouge et vert lacéré, il dissimule sous un vieux chapeau son visage atrocement brûlé et défiguré. Sa main droite, gantée, est munie de quatre longues griffes d'acier plus tranchantes que des lames de rasoir...

Attention, ici je m’attaque à du lourd ! Je ne parle pas forcément de ce film mais je parle bien du phénomène et du mythe qu’est Freddy Krueger, ce personnage haut en couleur créer en 1984 par Wes Craven, phénomène conclut « pour le moment » (Car un éventuel Freddy Vs Jason 2 serait en cours de discussion) avec ce dernier épisode qu’est ce remake du premier opus : Freddy Les Griffes de la Nuit. Ce film de Samuel Bayer, a été accepté par Wes Craven sous une seule condition (La même que La Colline à des Yeux), c’était bien sûr de changer quelque peu ce scénario. Et c’est chose faite à mon plus grand bonheur, cette fois-ci Freddy n’est plus un tueur d’enfants et l’on à droit à plusieurs scènes supplémentaires fantastiques, mais certes au détriment d’autres scènes « cultes » ici pas assez travaillés et approfondit, notamment la scène du bain de Nancy bien inférieur à celle de l’original plus percutante, cependant la première scène est vraiment bonne, d’autres scènes également d’ailleurs ma préféré est la celle de Chris dans sa chambre (à la manière de Tina dans l’original) et la scène de la prison de Jesse , ces deux scènes étant bien évidemment bien plus efficaces, plus transcendantes et définissant bien le potentiel qu’aurait pu être ces deux scènes si ils avaient bénéficier de plus d’effets spéciaux et de moyens financiers en 1984, ici c’est chose faite. L’esthétique de Freddy a été très critiqué et bien moi je défend ma thèse en pensant que certes ce maquillage est bien moins représentatif de notre Robert Englund et du Freddy Krueger de l’époque et pourtant moi j’aime bien, Samuel Bayer à tenter des choses et à vraiment voulut apporter des choses nouvelles ou des pistes inexplorées à l’époque (Ici, le passé de Freddy est vraiment bien décrit et on comprend bien mieux) puis après tout notre Freddy est encore plus sadique que l’époque et toujours accompagné de son jouissif humour noir et ses répliques vraiment cultes (Pourquoi tu hurles ?! Jt’ai même pas encore griffer!). De plus la scène de fin dans l’original était vraiment bâcler, en effet parmi les trois proposés c’est finalement le producteur qui a choisit la plus mauvaise des trois et ça nous as bien déçu au final, ici je la préfère largement, perpétrant bien la tradition de par son issue. Ici, la tension est mieux entretenu, plus glauque et plus sombre, les acteurs ne possèdent évidemment pas le même jeu kitsh que l’époque (car dans l’ancien seul l’actrice jouant Nancy, Heather Langekamp et Robert Englund valaient le coup) aujourd’hui l’on a troqué Robert Englund contre ce Jackie Earle Haley vraiment très bon, rôle allant comme un « Gant » (petit jeu de mot) pour lui, Une Heather Langekamp contre une Rooney Mara aussi concerné par son rôle que sa prédecesseuse et d’autres acteurs assez bon et convaincants comme Katie Cassidy ou encore Kyle Gallner le remplaçant de Johnny Depp à l’époque. De plus la mise en scène est plus moderne, plus soignées, et donc plus satisfaisantes. Evidemment voilà encore un film qu’il fallait voir au cinéma pour observer la différence entre les deux ou au cinéma, les tentatives de sursauts faisaient presque toujours l’unanimité, alors qu’en DVD ce fut moins le cas. Un Freddy Krueger retrouvé pour la première fois depuis longtemps (faisant vraiment pâle figure dans son dernier film qu’était Freddy Vs Jason), de l’humour noir, des scènes diablement efficaces et percutantes, ce Freddy Les Griffes de La Nuit est vraiment une petite merveille de renouveau, qui pour moi reste l’un des meilleurs remakes, contrairement à ce que chacun pourrait dire. Il y’a des films considérés comme des chef d’œuvres que beaucoup aime (The Wicker Man, Ring, Vendredi 13) et moi non , m’ayant laissé quelque peu perplexe et d’autres films qui n’ont pas fait l’unanimité et que je considère comme un des mes chefs d’œuvres, c’est le cas pour ce Freddy, nouvelle génération.                                      

                                             bande annonce:                         

Synopsis : Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Danny, qui possède un don de médium, le "Shining", est effrayé à l'idée d'habiter ce lieu, théâtre marqué par de terribles évènements passés...

Stanley Kubrick a fait de Shining l'un des plus grands thrillers jamais réalisé en lui insufflant une dynamique et une esthétique chirurgicale sublimé par la performance mythique et terrifiante d'un Jack Nicholson (Vol au dessus d'un nid de coucou, Chinatown) à l'apogée de son talent. Mémorable ! L'adaptation cinématographique de Shining, roman du célèbre écrivain Stephen King, ne lui aurait pas plu. En effet, aparemment l'adaptation au grand écran de Stanley Kubrick ne serait pas "assez proche du livre". Ainsi pour rectifier cela, Stephen King scénarise et produit lui-même un remake du film pour la télévision.

                               bande-annonce:

Synopsis : Casey Becker, une belle adolescente, est seule dans la maison familiale. Elle s'apprête à regarder un film d'horreur, mais le téléphone sonne. Au bout du fil, un serial killer la malmène, et la force à jouer à un jeu terrible : si elle répond mal à ses questions portant sur les films d'horreur, celui-ci tuera son copain...
Sidney Prescott sait qu'elle est l'une des victimes potentielles du tueur de Woodsboro. Celle-ci ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ?

Scream est un film réalisé par Wes Craven et scénarisé par Kevin williamson sorti en 1996. Retour en arrière : à cette époque le genre slasher était un genre en voie de disparition après les multiples suites des saga Halloween, Vendredi 13, Freddy. Le public commença à se lasser, les grands producteurs laissèrent tomber ce genre. Jusqu'au jour ou un brillant scénariste et un réalisateur spécialiste de l'épouvante donnent naissance à un tueur en série qui deviendra par la suite une grande îcone du cinéma d'horreur aussi célèbre et reconnue que Michael Myers, Jason Voorhees, ou Freddy Kruger. En effet, à sa sortie le film est un immense succès, mais également un succès surprise. Et vu la qualité du film, c'est très facilement compréhensible : le film possède une scène d'introduction qui restera culte dans le cinéma d'horreur, dotée d'un climat oppressant, qui a permis au monde de découvrir pour la toute première fois à l'écran le cultissime Ghostface, son masque désormais célèbre et son sadisme; le film est bourré de grandes références cinématographiques, plus particulièrement de références au cinéma horrifique (on citera Halloween, Vendredi 13, Les Griffes de la Nuit (évoqués tout les trois dans la scène d'introduction), Basic Instinc, l'Exorciste, etc...);le film est doté d'un certain humour, plutôt bien ammené; des règles pour survivre dans un film d'horreur (règles qui la plus part du temps se révèlent exactes dans ce genre) seront énoncées par un des personnages, ce que tout le monde s'empressera de violer en buvant, ou en ayant des rapports sexuels; enfin le final est l'un des plus mémorables et des plus violent qui puissent exister dans ce genre, apportant un énorme choc au spectateur au moment de la révélation du/des tueur(s). En conclusion Scream est une véritable leçon du cinéma horrifique, qui restera culte dans toute l'Histoire du Cinéma. Un film digne de ce nom et que tout cinéphile digne de ce nom se doit de regarder. 20/20

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